Une rescapée d’un massacre perpétré durant la guerre civile des années 1990 affirme que l’auteur a transposé, dans son roman « Houris », les confidences qu’elle avait faites à sa femme, alors psychiatre. Les défenseurs de Kamel Daoud dénoncent une campagne de dénigrement.
Source : https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/11/18/...
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